Un chantier sur les rails…
Je t’ai parlé de mes travaux de rénovation en cours. Alors qu’ils touchent bientôt à leur fin, je t’en fais un compte-rendu dans cet article.

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Je t’ai parlé de mes travaux de rénovation en cours. Alors qu’ils touchent bientôt à leur fin, je t’en fais un compte-rendu dans cet article.
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Sans trahir un secret d’état, le réseau que je vais rejoindre s’appelle Les Porteclés de l’immobilier. J’aime bien le nom et Madame l’appréciait aussi. Il y avait un autre avec un nom original. D’ailleurs les 2 ont été fondé par le même gars à quelques années d’écart. Les deux réseaux partagent beaucoup de similitudes mais l’autre a un gros défaut à mon goût et il s’avère que ce que je vois comme un gros défaut est la cause du départ du fondateur… Dès les premiers échanges donc, on trouve une convergence de vue. Mais le premier avantage qui m’a sauté aux yeux, c’est que l’abonnement au réseau est GRATUIT. L’idée: il ne faut pas avoir à payer pour commencer à travailler.
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Tu m’excuseras pour l’absence de nouvelles fraiches ces dernières semaines…
Tu l’auras compris, je suis en pleine transition…
Bref, tout cela me laisse peu de temps pour écrire de nouveaux articles alors que de nombreux sujets, qui me tiennent à cœur, sont en suspens.
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Je vais te raconter l’histoire de l’appartement que je suis en train de rénover actuellement, mon dernier investissement locatif.
Dans ce premier article, je vais te parler de la recherche du bien. Il y en aura un ensuite sur la rénovation proprement dite. Et enfin un troisième pour parler de la location.
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Investissement locatif : la recherche du bienLire la suite »
Je vais vous raconter comment nous avons acheté 2 biens immobiliers, dont notre maison, et nous les avons payé entièrement en très peu de temps: la maison a été entièrement payée en 5 ans, et aussi un appartement, aujourd’hui encore loué, qui lui a été payé dans le même intervalle de temps.
En 2009, ma compagne et moi habitions dans une ville moyenne de province. Je travaillais dans une petite ville à 60km plus au sud, heureusement reliée par le train. Et elle à 85km au Nord, dans une autre petite ville (qui s’avère être celle dans laquelle nous vivons aujourd’hui). Nos journées démarraient à 6h. Je courrais prendre mon train. Elle cavalait pour rejoindre ses covoitureurs. Le soir, nous rentrions crevé chez nous vers 19h. Pas le temps ni l’envie de rien d’autre que manger et nous coucher. Pas ou peu de vie sociale, y compris le week-end.
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